Recueil publié en septembre 2022 Ngalaka, la Belgicaine
Divers textes non encore publiés, mais déjà partagés, ci-joint
les feux de l’amour en français et Néerlandais
Amour et turbulences en français et portugais
Femme Cabindaise en français (dans Ngalaka la Belgicaine) et en anglais (non publié)
CABINDAISE 1 recueil sur l’amour français, portugais
Bonne lecture !
Poésies
Cabindese woman
Forgotten at all times, in all places, for so long
A treacherous independence cost you your country, your land, your honour, your blood!
Cabindese woman
Cabindese woman N°1
Cabindaise woman
Woman with pain forgotten by the whole world
In you so many tears accumulate
Mother of courage that nothing disarms
Who knows that always, even without weapons
Cabindaise Woman N°2
Cabindaise woman, you are a woman
Cabindaise Woman N°3
kasàlàs divers
Je suis
Celle qui souffre depuis si longtemps
Celle qui recherche la paix du cœur
JE SUIS CELLE QUI CHERCHE A RESPIRER.
Je suis ELODIE-LA-MÈRE-FORMIDABLE-ET-MAMAN-ADMIRABLE d’un bébé mal né
Il avait pourtant deux yeux, deux bras, deux jambes, deux pieds, et une seule tête
kasàlà d'indignation et de rencontre
CONSIGNES : écrire sur nous, d’après notre carte (la mienne est sur la danse éternelle, la roue de la vie, les résistances etc.), sur notre état d’ici et maintenant. Ces consignes me font penser au philosophe et écrivain François Cheng et m’inspirent assez vite le kasàlà suivant :
Comme le dit si bien François Cheng
Je veux vivre l’aujourd’hui
D’ici et de maintenant
Je suis une femme à la danse éternelle
Qui se meut chaque jour
A travers tant de flammes rebelles
Je suis une fille qui a subi
Tous les rouages de la vie, les bons, les maudits
Pour renaître plus belle, plus dynamique, plus consciente
De son être magnifiquement magique
Celle qui s’exprime devant vous aujourd’hui
C’est Elodie la Victorieuse
Amazone de sa vie
La mère courage de quatre enfants
L’épouse fidèle au-delà de ses envies
Car l’Amour est le sang de sa vie
La grand-mère aimante parfois trop envahissante et caressante
Je suis Elodie la Gagnante, qui, ici et maintenant
S’aime et aime ses danses
Mêmes lorsque celles-ci lui brulent les ailes
Car elle sait à présent que danser est un éternel mouvement
Qui lui fait revivre sans malveillante résistance
Le Bonheur de vivre
Comme l’a dit François Cheng
Ici et maintenant !