
Je suis Elodie-la-kasaleuse
J’inspire, j’expire
Encore une fois
J’inspire, j’expire
Arrive alors l’inspiration, il faut que je l’expire, avec des mots, avec mes mots
Mais attention, je ne suis pas un poème, me souffle Jiminy Criquet dans mes petites oreilles qui font ma fierté ; et pourtant les grandes oreilles sont un signe distinctif de notre lignée du côté grand-père hollandais
Je le sais lui répond Elodie Ngalaka, mon double artistique, j’ai laissé toute la place au kasàlà, la muse poétique classique est au repos
Attention entends-je encore, de poésie le kasàlà ne peut manquer de peur d’ennuyer et de n’être qu’une litanie de mots insensés sans densité
Je suis Elodie-la-rêveuse, celle qui rêve d’un monde parallèle rempli de beauté, de fleurs, de paix
Je kasale pour me libérer, pourtant je n’aime pas beaucoup la kasàlà-thérapie car elle a tendance à vouloir s’imposer, pourtant je m’autohypnose de manière kasalienne,
à toute heure du jour ou de la nuit, la kasalamanie se fait mienne et mes mots se font thérapie !
Je ne peux fuir, ce chemin me guérit, me met en joie, m’inspire et me montre les autres tels qu’ils sont ou tels que je veux qu’ils soient
Je peux les magnifier de mes mots, trouver en eux le beau, le bon
Où qu’ils se cachent, le kasàlà les traquent
Où que je me cache, le kasàlà me trouve et me découvre, entre umuntu et umunta, je m’adapte
Nous pouvons tous changer et entrer dans le cercle de l’Ubuntu sacré retrouvé, là où règnent le calme, la paix, l’amour et bien sûr la volupté car le corps a toujours le droit d’exulter
Je suis Elodie-la-kasaleuse qui veut redonner au mot amour toute sa densité !
Kasàlà-thérapie d’Elodie
Je suis Elodie-la-kasaleuse-en herbe
qui kasale entre la joie et la tristesse
J’inspire, j’expire, encore une fois, J’inspire, j’expire
Arrive alors l’inspiration, il faut que je l’expire, avec des mots, avec mes mots
Mais attention, je ne suis pas un poème, me souffle Jiminy Criquet dans mes petites oreilles qui font ma fierté ; et pourtant les grandes oreilles sont un signe distinctif de notre lignée du côté du grand-père hollandais
Je le sais lui répond Elodie Ngalaka, mon double artistique toujours en crise identitaire, j’ai laissé toute la place au kasàlà, la muse poétique classique est au repos
Attention entends-je encore, de poésie le kasàlà ne peut manquer de peur d’ennuyer et de n’être qu’une litanie de mots insensés sans densité
Je suis Elodie-la-rêveuse, celle qui rêve d’un monde parallèle rempli de beauté, de fleurs, de paix
Je kasale pour me libérer, pourtant je n’aime pas beaucoup la kasàlà-thérapie car elle a tendance à vouloir s’imposer, pourtant je m’auto-hypnose de manière kasalienne, à toute heure du jour ou de la nuit, la kasalamanie se fait mienne et mes mots se font thérapie !
Je ne peux fuir, ce chemin me guérit, me met en joie, m’inspire et me montre les autres tels qu’ils sont ou tels que je veux qu’ils soient
Je peux les magnifier de mes mots, trouver en eux le beau, le bon
Où qu’ils se cachent, le kasàlà les traquent
Où que je me cache, le kasàlà me trouve et me découvre, entre umuntu et umunta, je m’adapte
Nous pouvons tous changer et entrer dans le cercle de l’Ubuntu sacré retrouvé, là où règnent le calme, la paix, l’amour et bien sûr la volupté car le corps a toujours le droit d’exulter
Je suis Elodie-la-kasaleuse qui veut redonner au mot amour toute sa densité !