Eloodie

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Mes muses littéraires

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Je tiens à remercier les autrices qui m’ont accompagnée dans mon renouveau, dans mon saut
vers la publication, dans mon coming-out littéraire du 23 septembre 2022 avec la publication
de mon premier bébé littéraire : « Ngalaka, la Belgicaine.La vie n’est pas une poésie
tranquille ». Merci à la toute première Emilie-Flore Faignond, qui m’a tellement touchée
lors de ma découverte de son « Cyclone » et qui m’a appris qu’un cyclone pouvait se ressentir
toute une vie sans pour autant nous détruire. Merci à Lilia Bongi qui a dès le départ eu une
confiance aveugle en mes capacités littéraires, je me retrouve dans « Amsoria » comme si
Lili, c’était moi, tant de choses communes vécues ne peuvent que rapprocher deux êtres aux
vies multiples pourtant différentes. Merci aussi chère Lilia de m’avoir fait rêver un peu avec

toi dans les coulisses de ton beau conte de fées « La Légende de la femme-oiseau ». Merci à
toi Annie Lulu à qui je montre trop souvent certainement mon admiration pour tes qualités
d’écrivaine et celles indéniablement remarquables de maman de ton merveilleux petit bout
d’homme Avner. Je ne te ressemble pourtant pas mais j’aime la jeune femme que tu
représentes, avec tes qualités et tes défauts (lesquels ?). Je me suis plongée avec délectation
dans « La mer Noire dans les Grands Lacs » ainsi que dans « Peine des Fauves », ton
dernier roman à ce jour, à la vision géo-écolo-politique très troublante et bien évidemment je
t’envie tes nombreuses récompenses littéraires ! Merci à toi ma sœur Yolande Elebe ma
Ndembo dont j’ai aimé et admiré « Le Bictari » avant même de connaître nos liens familiaux
et avant d’avoir le bonheur de te rencontrer en vrai comme dise les enfants, il n’y a pas de
hasard me dit-on souvent, je vais finir par le croire. Merci à toi Nadia Nsayi que je ne connais
pas encore si bien et pourtant je me sens fière de ton roman écrit en Néerlandais « Dochter
van de Dekolonisatie », fière car pour moi il est comme un pied de nez à toutes les personnes
qui jusqu’à aujourd’hui en raison de la couleur de ma peau me disent « Amaï, toi tu parles
vraiment bien le flamand, c’est pas comme tous ces francophones de Bruxelles, vous au
moins les noirs vous faires de efforts ! », oui je l’avoue j’aurais aimé l’écrire pour mieux
connaître ce sujet de plus en plus d’actualité (mais non, je l’avoue pour moi c’est plus facile et
plus simple de le lire ). Merci Nadia car je t’ai acheté ton ouvrage à distance, sans te connaître
et ensuite la vie nous a mises l’une et l’autre sur une même route, peut-être pour un temps
déterminé, mais ce temps a été suffisant pour me mener vers de nouvelles directions et ton
« Hou je goed » à la fin de ta dédicace m’a fait plus de bien que ce que tu pourrais imaginer.
Et tu m’as inspirée à mettre du cœur dans mes propres dédicaces même en peu de mots. Merci
à toi Florence Meta et tes « Flots de douceur ». Quand je lis ta poésie, je m’y retrouve, je
m’en délecte, je fais miens tes mots simples et beaux imprégnés de douceur comme le titre le
suggère. Merci Lisette Lombé, je t’ai d’abord écoutée et vue en vidéo et j’ai été subjuguée par
ta voix, ta posture de reine, de lionne, de tigresse indomptable ; ensuite je t’ai lue dans Venus
Poética et dans Black Words et je rêve encore de Brûler Brûler Brûler par ta flamme. Merci
car je t’admire et tu m’inspires ; en te lisant je retrouve cette femme que j’ai longtemps
cachée, celle qui taisait ses fantasmes par pudicité, par bigoterie tatouée jusqu’au sang dans sa
peau alors que l’amour est toujours beau lorsqu’il est vécu avec sincérité. Et toi Salomé
Mulongo, une de mes récentes belles rencontres de femme, d’autrice. Merci pour ta
simplicité, pour tes enseignements qui ne sont peut-être pas pour tous des vérités absolues
mais empreints de bienveillance. Merci pour ta gentillesse (bon je ne t’ai pas encore connue
en colère, cela viendra peut-être), je me suis retrouvée dans ton Métissage ni tout blanc ni

tout noir, dans ton Duel peignant un fait semblant divers qui peut se vivre au quotidien. J’ai
découvert des pépites à chaque page de ton « Journal presqu’intime en mincithérapie » qu’il
me faudra un jour explorer plus en profondeur car ce côté de ma vie n’est pas encore apaisé.
E.N.

Qui suis-je ? Je suis Ngalaka, l’écriturienne, je le revendique !

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